dimanche 18 mai 2008

PSG 2007-2008: bilan

Bah voilà, enfin nous sommes fixés sur le sort du PSG, il reste en Ligue 1. N’en déplaise à beaucoup son classement est mérité, comme je dis toujours, on a ce qu’on mérite. Désolé pour nos amis lensois mais si Gervais Martel n’avait pas fait l’erreur de tomber sous le charme d’un Guy Roux hors de forme et surtout hors sujet, puis d’un Jean-Pierre Papin manquant certainement de caractère pour relever ce défi nordiste, le RC Lens serait encore en Ligue 1 pour la saison 2008-2009. Je ne parlerai pas des cas Strasbourgeois et Messins.
Je dois avouer malgré tout que je pensais à Toulouse pour la descente mais bon…

16ème de Ligue 1, 13ème attaque, 13ème défense, 8ème équipe à l’extérieur, 17ème équipe à domicile et pour terminer 2ème équipe au Fair-Play, voilà à quoi se résume la saison de mon club, 3ème budget français, des chiffres.
Tout d’abord je pense que si le PSG en est arrivé là c’est que des choix n’ont pas été faits aux moments où il le fallait. J’y reviendrai par la suite.

Je souhaite m’attaquer au recrutement et dans ce sens je pense que le Responsable de la cellule recrutement qu’est Alain Roche n’est tout simplement pas compétent. Je ne reviendrai pas sur les joueurs qu’il aurait fallu conserver par le passé, mais sur les joueurs de cette saison.

Mickaël Landreau : Un international au PSG ! Oui espérons pour lui que sa piètre saison ne l’évincera pas des plans de Raymond Domenech. Son problème, c’est qu’il n’a pas compris qu’il fallait sortir de sa ligne et s’imposer dans les airs pour montrer aux attaquants adverses qui était le patron de la surface.

Jérome Alonzo : Bon bah rien à dire, un amoureux du PSG l’est aussi de ce gardien au fort tempérament et talent. Dommage que PLg ne l’ai pas fait jouer quand Landreau eut son coup de moins bien.

Grégory Bourillon : Un joueur à fort potentiel selon PLG (Paul Le Guen).Peut être, mais je n’ai pas trop vu ce que ce joueur insipide, manquant de personnalité peut apporter au PSG.

Zoumana Camara : Malgré des prestations moyennes cette saison, j’apprécie ce joueur à fort caractère et qui en impose physiquement, il a les épaules pour s’imposer à Paris.

Mario Yepes : Malgré encore une saison pas facile pour lui, il a su répondre présent quand il le fallait, ses tacles ont été fort précieux, comme son jeu de tête.

Ceara : Il peut apporter sur les phases offensives, mais devrait d’abord à défendre. Il doit apprendre à être plus sobre aussi, car en défense on a pas le temps de s’amuser.

Sylvain Armand : N’est pas au niveau de sa seconde saison parisienne malgré un apport offensif de plus en plus conséquent. Je trouve qu’il manque de présence physique et c’est dommage au vu de son gabarit.

Mamadou Sakho : Beaucoup plus à l’aise dans l’axe que sur le coté. Un joueur à très fort potentiel à garder absolument.

Larrys Mabiala : Pas grand chose à dire.


Bernard Mendy : Son talent ne fait aucun doute mais le problème est qu’il ne le montre qu’avec parcimonie et surtout quand un contrat doit être renégocier par exemple. Je le préfère à Ceara sans aucun doute.

Clément Chantome : Guy Lacombe en avait fait un de ses titulaires et PLG après l’avoir placardisé en a fait de même. Un joueur travailleur qui va s’aguerrir avec l’âge.

Jeremy Clément : Il nous avait régalé l’an dernier à son retour de blessure. Moins en vue cette saison il n’en demeure pas moins indispensable à la récupération. Il lui manque peut être cet allant vers l’avant, cette touche de technicité qui permettrait de délivrer des passes décisives.

Didier Digard : Une recrue assez …contrastée. Capable de match vide où l’on se demande ce qu’il fait sur le terrain comme de match où l’on ne voit que lui. Doué d’un gabarit, d’une très bonne technique, cet élément va prendre de l importance la saison prochaine. Il ne lui reste qu’à progresser au niveau de la concentration et dans la gestion de l’effort.

Grandi NGoyi : Un joueur méconnu, jeune mais avec un très fort potentiel qui évolue également en défense centrale.

Jérome Rothen : En dehors de ses blessures , il a su apporter la touche technique au PSG, régulier dans l’effort et dans la volonté , il lui manque tout de même cette capacité de laisser sur place l’adversaire.

Younousse Shankaré : Un joueur technique mais qui manque de constance et mental. Encore trop jeune.

Loris Arnaud : Un joueur à potentiel encore mais qui a cette capacité de dribbler l’adversaire, de vitesse, un joueur à conserver pour l’avenir.

Souza : un premier match ponctué d’une défaite mais un beau toucher de balle…bah après c’est plus un fantôme qu’un joueur qu’on a cru voir.

Amara Diané : Malgré ses ratés ou ses pertes de balles idiotes, il fut le détonateur du PSG cette saison, auteur de buts important à l’instar d’un certain Pedro, ses dribbles chaloupés m’ont enthousiasmés au plus haut point.

Peggy Luyindula : Une saison très médiocre pour ce joueur très doué techniquement et très bon dans la conservation du ballon. Ce joueur réussit quand du mouvement autour de lui il y a , hélas ce ne fut pas le cas.

Pedro Miguel Pauleta : L’Aigle des Açores !! Impérial comme ses quatre autres saisons parisiennes. PLG a voulu nous priver de ce talent impérissable, mais il a su montrer par ses performances et ses qualités qu’on ne pouvait se passer de lui. Merci Pedro !!!


Paul Le Guen –Yves Colleu : un duo décevant tant par leur communication que par les résultats évidemment, mais ont il eu le choix et la possibilité de faire réellement mieux ?

Alain Cayzac – Simon Tahar : Je les mets ensemble car pour moi, ils ont le même caractère. Respectueux, discret, amoureux du club mais …manquant de gueule, de charisme.
Alain Cayzac n’a pas su prendre ses responsabilités à un certain moment. Pape Diouf, président de l’OM a su le faire et on connaît le résultat maintenant, il est vrai aussi que l’effectif olympien était supérieur à son homologue parisien mais tout de même.

Michel Moulin : Un mois au club et il apparaît pour moi être l’homme à poigne qu’il fallait pour le club. J’espère que son projet sera adopté par les actionnaires.

Pour en finir, aucun supporter du club ne peut se satisfaire du niveau de jeu déployé en dehors du classement, pas de spectacle , très peu de but , une tactique frileuse faîte pour subir, bref aucun plaisir à voir évoluer cette équipe. Il est temps de trouver un nouveau souffle et je pense que PLG devrait laisser sa place tout comme Alain Roche au recrutement, en dehors de l’esprit club prôné ces derniers temps il y a surtout une notion qui a été oublié : la compétence. Pour PLG , je pense surtout que PLG manque peut être de ce brin de folie nécessaire à Paris pour monter un groupe solide. Pour Alain Roche, je me demande quels sont les joueurs qui ont été recrutés et sur lesquels le club a réalisé des plus values.

mardi 6 mai 2008

8 mai : la fin....pas partout !!!

Cet article vient à point avec l’anniversaire de l’arrêt des combats en Europe lors de la seconde guerre mondiale et parce qu’il n y a pas si longtemps, j’ai vu un film de Clint Eastwood « Letters from Iwo Jima » qui raconte une des batailles méconnues de cette guerre vue du coté des japonais, et qui pourtant fut une des plus importantes de l’histoire du point de vue stratégique. D’ailleurs, la suite des événements de cette bataille ne me semble guère justifiée et je tenterai de vous le démontrer de façon simple.

Il faut savoir qu’au Japon, on ne parle pas beaucoup de cette bataille, elle n’est pas évoquée dans les manuels d’histoire et que ce film a permis à nombre de japonais d’apprendre sur leur histoire.

Iwo Jima est une île japonaise située au sud de la mère patrie japonaise et sert de station d'alerte pour la défense.
Initialement, cette île ne devait pas être envahie par les américains mais un imprévu (une île prétendue occupée par l’armée japonaise mais vide finalement dans les Philippines) leur fit prendre de l’avance dans leur programme de conquête ce qui les conduisit à Iwo Jima.
Du coté japonais, on sait que les américains vont venir sur l’île.

Une garnison de 22 000 soldats, un réseau de protections souterraines. Le but de Kuribayashi était d'infliger des pertes sévères aux Alliés, ce qui pourrait les décourager d'envahir les îles principales. Tous devaient faire le sacrifice de leur vie pour leur patrie en emportant dix ennemis avec eux. Malheureusement pour Kuribayashi, sa tactique de laisser venir les américains sur les plages et dans les terres pour mieux leur tirer dessus ne plaisait pas à tous les officiers. C’est ainsi que des dissensions apparurent entre les officiers japonais ce qui entraîna des réactions que l'on peut juger peu réfléchies du point de vue stratégie militaire, des contre-attaques suicides entre autres.
Sur les 22 000 soldats, ne survécurent que 1000 soldats prisonnier. Parmi les soldats japonais morts beaucoup se donnèrent la mort en suivant les ordres d’officiers dissidents de Kuribayashi.
Du coté américain, près de 7000 morts et 19 000 blessés.
Ces événements eurent lieu de février à mars 1945.

Alors, les Etats-Unis ont remporté une bataille stratégique de plus, ils sont en train de placer leurs filets tout autour de ce Japon en grande difficulté tant sur le plan militaire que économique et social, et alors que leur supériorité ne fait plus aucun doute et que l’Empire du Japon s’apprête à capituler, deux abominations…. Deux abominations, des événements innommables et que je juge très grave ont lieu. Mais attention que l’on ne s’y méprend pas, il n’y a nul victimes innocentes ici, les japonais produisaient tout de même de l’armement chimique qui fut grandement utilisé en Chine ou expérimentait encore sur des humains des choses affreuses.
En date du 6 et du 9 Août, Hiroshima et Nagasaki sont rayées de la carte par utilisation de l’arme atomique. Alors, même si on explique dans nos livres d’histoires européens et en tous cas c’est ce que j’avais appris à l’école.que cela a permis de mettre fin à la guerre plus tôt, rien ne justifiait l’emploi de cette arme. L’utilisation de l’arme atomique comme démonstration de la toute puissance américaine face à la grande armée soviétique, je pense que oui en plus d’une avide soif de démonstration ou de recherches scientifiques.
Le Japon dès la chute de l’Allemagne, réfléchit à un processus de paix et en propose maintes fois aux Etats-Unis par le biais de pays neutre comme la Suisse ou la Suède mais qui refuse encore et encore étrangement. Ainsi, les accords de Yalta, allaient envoyer au front japonais, l’armée russe en date du 8 Août. Alors peut-on voir en la précipitation américaine une course à la démonstration de force comme évoqué plus haut ? Je le redis encore, oui. Une course à la destruction dessinée par la vengeance, une vengeance à l’attaque de Pearl Harbor le 7 Décembre 1941 ? Certainement.


Source : Wikipedia.fr ; www.goma.fr

lundi 5 mai 2008

Achille et moi : 4 années de combat. part 3

Ma nouvelle arme contre Achille.

En pratique, le traitement chirurgical par suture percutanée est réalisé lors du courte hospitalisation (24 heures maximum, procédure possible en ambulatoire). On utilise un matériel spécial, le TENOLIG®, composé d'un fil monté sur aiguille sur lequel est monté un harpon permettant un ancrage tendineux. Le but est d'obtenir sans abord chirurgical "à ciel ouvert" un affrontement correct des deux extrémités rompues du tendon d'Achille

Le premier point est de faire le diagnostic, sans perdre de temps. Cliniquement, il est facile même si dans 20 % des cas, les patients sont vus tardivement. Les examens complémentaires sont souvent faussement rassurants (en particulier l'échographie, qui conclue souvent à une rupture partielle alors qu'elle est quasiment toujours complète):

Le second point concerne la technique chirurgicale proprement dite: il s'agit d'obtenir sans abord chirurgical "à ciel ouvert" un affrontement correct des deux extrémités rompues du tendon d'Achille, ce grâce au TENOLIG®, sans dévasculariser, en conservant l'hématome de la rupture (bénéfique pour la cicatrisation), ce qui permet une mobilisation précoce (bénéfique pour le rétablissement rapide de fibres tendineuses élastiques efficaces):

Le troisième point concerne les suites opératoires: on distingue 4 phases successives:

1ère période: J1- J+3 semaines (constitution du cal primaire):

Phase de constitution du cal primaire. Immobilisation en équin à 30°, aucun appui, surveillance cutanée (réfection du pansement) et prévention des phlébites (anticoagulants). Physiothérapie

2ème période: J+3 semaines-J+6 semaines (cicatrisation conjonctive):

Phase de cicatrisation. Immobilisation dans une orthèse amovible permettant l'appui et la diminution progressive de l'équin jusqu'à 10°, mobilisation quotidienne de la cheville en flexion plantaire et flexion dorsale. Physiothérapie. Ablation du TENOLIG® au Bloc opératoire à 6 semaines (totalement indolore)




3ème période: J+6 semaines-J+12 semaines (maturation du cal, récupération des propriétés physiques du tendon):

Phase de maturation du cal et de la récupération des propriérés physiques du tendon. Appui complet mais prudent (risque de rupture) avec talonnette de protection, récupération complète des amplitudes et musculation du triceps, travail de coulissage du tendon en évitant la détente, reprise des sports sans saut monopode (ex: natation, cyclisme)

4ème période: A partir de J+12 semaines (cicatrisation définitive):

Phase de cicatrisation définitive. Poursuite de la rééducation, renforcement musculo-tendineux, reprise de la course à pied puis progressivement des autres activités sportives

NB: Prévention des complications thrombo-emboliques (phlébite, embolie pulmonaire) par anticoagulants jusqu'à la reprise d'un appui complet

Source médicale : www.docteurrouxel.com

Achille et moi : 4 années de combat. part 2

Pourquoi Achille fait des siennes ?

Pourquoi mes tendons se sont-ils rompus ? Bon alors certains pourraient s’amuser sur diverses choses, mais je pense qu’il est important de redonner certaines informations qui je pense ont grandement agi pour…ces ruptures.

Alors premier facteur : la fatigue.
Les jours précédant mes ruptures, le sommeil n’avait pas été très présent et était peu réparateur.
L’importance du sommeil et de la prise en compte de la fatigue physique est donc un facteur déterminant.

Second facteur : la compensation.
La compensation car tout le long des saisons avec rupture une tendinite patellaire (ou rotulienne, mais c’est pareil) était douloureusement bien présente du coté opposé. On peut donc y voir une compensation de l’organisme inconsciente et donc fortement déséquilibrée. Compensation car sur la dernière saison, la tendinite patellaire s’était aggravée à cause d’une fracture de fatigue sur le pied opposé, c’est-à-dire le gauche puisque j’ai dû jouer avec trop longtemps avant d’arrêter.
La compensation car en voulant préserver peut-être le tendon droit, j’ai plus souvent sollicité le tendon gauche.

Troisième facteur : la douleur musculaire.
Autant la première fois je ne ressentais pas de douleurs ou autres gênes pouvant me donner des indications sur une éventuelle future complication, autant la troisième fois il est évident que la gêne que je pensais être une crampe, aurait dû me faire prendre conscience des futurs risques.

Quatrième facteur : des tendons…trop fragiles.
Un volume musculaire des triceps suraux beaucoup trop important pour leurs tendons, on peut ajouter des tendinopathies. Pour information, les triceps suraux sont les mollets. Alors, on dit triceps car il y a trois ventres musculaires, les gastrocnémiens ou jumeaux sur le plan superficiel, ce sont les 2 boules qui apparaissent à la contraction du mollet, et le soléaire qui se trouve sur le plan profond(sous les jumeaux).

Achille et moi : 4 années de lutte. part 1

Genèse d’un combat.

Nous sommes en Mai 2004, et lors du match ASA Maisons-Alfort, mon équipe à l’époque, contre US Créteil 3 (en Excel Reg PIFE ), en seconde mi temps, à la suite d'une réception sur mon pied droit, j’ai voulu relancé dans le même élan et c'est à ce moment là que j'ai reçu un grand coup de pied dans le mollet droit qui me fit tomber par terre en plus t'entendre comme un grand bruit sec et lourd à la fois. En regardant autour de moi, il n'y avait personne.
Je me persuade encore que c'est un coup que j’ai reçu et je décide de passer la fameuse nuit magique et réparatrice chez moi qui m'enlèvera la douleur. Et le lendemain matin en posant le pied par terre, je m'effondre.
Direction les urgences Hôpital Mondor 94, et là-bas on me fait passer une radio ce qui me fait penser que je suis tombé sur un interne qui ne connaissait pas ses cours (à mon avis, il n’a pas pris traumatologie ortho ou un truc du genre en spécialité). Donc pas de lit dans l'hôpital pour une admission donc on me trouve une superbe clinique où je suis transféré pour y être charc...pardon opéré. On apprendra que 2 ans après cette clinique de Gent... 94 fermera ses portes, allez savoir pourquoi.
J'ai donc subi une opération a ciel ouvert en mai 2004 puis pied en équin pendant x temps. Devait suivre un autre équin mais mon charcut...chirurgien Dr K.....( qui doit pas s’embêter à 50 euros en espèce la consultation de 10 minutes ) me dit que c’est bon je peux commencer a faire de la kiné, pas besoin de faire le second équin. Donc je m exécute…
Pour continuer dans les ignorants, je suis tombé sur un kiné (un jeune) qui devait avoir obtenu son diplôme en ayant révisé la veille ou trouvé dans une pochette-surprise, car il ne savait même pas que le tendon d’Achille pouvait se rompre! Enfin donc...6 mois après (Fin octobre 2004) en marchant (il faut savoir que je n’avais pas retrouvé ma flexion d’avant encore), j’entends un petit bruit et une petite douleur et hop, rupture partielle sur le même tendon.
Cette fois-ci on opte pour moi pour un traitement orthopédique ( Hôpital de Saint Maurice 94)....donc pied en équin et après semelle diminuée de sa hauteur au talon tous les 10 jours ...pour une reprise du sport simultanée à la reprise de la marche normale ( en salle je précise et sur appareils dirigés) au mois de avril 2005, les premiers joggings faisant leurs apparitions début juin, et reprise de la compétition à un niveau proche d'avant blessure en Septembre donc.
Samedi 19 Avril 2008, je ressens comme une petite gêne au mollet durant mon match, mais pendant les pauses (temps morts Mi-temps ou banc) je m'étire pensant qu il s'agit de crampes et en milieu de 2ème mi temps en accélérant, bah....rupture Tendon d'Achille pied gauche.
Voilà c'est reparti pour des mois de galère !!!
Donc le soir même aux urgences Hôpital Mondor 94. après avoir attendu près de 4 heures entrecoupées de la visite d un interne, un jeune encore ( je précise que les urgences vitales sont prioritaires fort heureusement), un orthopédique arrive enfin et bon je me dis enfin quelqu’un qui sait reconnaître une rupture du tendon d'Achille.
Il me donne le choix cette fois ci entre le traitement orthopédique, chirurgicale "classique" (ciel ouvert) et par "Tenolig" (mini invasive).
Comme j aime bien me faire des ruptures des tendons d'achille et que j'aime bien essayer de nouvelles choses, je me dis « essayons le Tenolig ». Plus sérieusement, je m'étais déjà renseigné sur cette technique suite à ma première rupture et opération.